Article lu sur le « Réseau de Veille en tourisme québécois« , paru le 4 avril 2011, et écrit par Michèle Laliberté
« Terme galvaudé, concept dénué de son essence même qu’est le milieu naturel, phénomène difficile à quantifier, acteurs multiples aux horizons divers… Au fil des expériences, les approches participatives favorisent un développement plus harmonieux et orientent les projets sur la voie de la réussite. Dans le livre «L’écotourisme visité par les acteurs territoriaux: entre conservation, participation et marché», universitaires, chercheurs et spécialistes, sous la direction de Christiane Gagnon, analysent l’évolution du concept de l’écotourisme en plus d’y présenter une dizaine d’études de cas.
La sensibilisation de la population et la protection de l’environnement inscrite à l’agenda de nombreux gouvernements multiplient les projets de conservation et contribuent à l’essor de l’écotourisme.
Les aires protégées servent de produits d’appel et sont perçues aujourd’hui comme des destinations de grande qualité environnementale. L’écotourisme semble la forme de tourisme la plus appropriée aux parcs nationaux.